Partenariats communautaires

Divergenres se fait le devoir d’être un membre actif dans sa communauté. C’est pourquoi notre équipe s’implique dans plusieurs espaces de concertation.

Au niveau régional

Divergenres est membre de la Table de concertation des organismes LGBT+ de la Capitale-Nationale. Cette table regroupe le GRIS-Québec, l’Alliance Arc-en-ciel, Toustes Doux et le MIELS-Québec. Divergenres est également membre du Regroupement d’éducation populaire en action communautaire des régions de Québec et Chaudière-Appalaches (RÉPAC 03-12) aux côtés de 46 autres organismes qui ont à cœur la défense des droits des personnes les plus marginalisées. 

Au niveau provincial

Divergenres est membre du Conseil québécois LGBT qui assure la représentation des communautés LGBT+ auprès du gouvernement du Québec. Divergenres fait aussi parti de la Concertation des groupes trans, non-binaires et queer, afin de défendre les droits des personnes issues de la diversité de genre du Québec. Puis, Divergenres a créé un espace de concertation nommé Transphobie et violences genrées qui regroupe une quinzaine d’organismes féministes ou LGBTQ+ travaillant en violence genrée au travers le Québec.

Au niveau national

Divergenres est membre du réseau Enchanté qui regroupe les organismes LGBT+ du Canada et qui les représente auprès du gouvernement du Canada.

Au niveau international

Divergenres est membre d’Égides, le regroupement mondial des organismes LGBT+ francophones.

Vous voulez collaborer avec Divergenres?

Divergenres collabore étroitement avec une foule d’organismes desservant les personnes marginalisées de la Capitale-Nationale pour établir des partenariats, faire des projets  collaboratifs, échanger des ressources et assurer un meilleur référencement.

Si vous souhaitez collaborer avec nous par rapport à de la recherche scientifique, que ce soit de repartager votre annonce de recrutement ou de débuter un projet au sujet des réalités trans, nous vous invitons à compléter ce formulaire d’intérêt.

Avant de soutenir un projet ou d’y participer, nous voulons nous assurer que le projet tiendra compte de nos expériences de marginalisation, qu’il ne nuira pas au climat de sécurité que nous voulons créer et que la connaissance produite sera positive, utile et accessible pour les personnes trans.