Dans notre définition, la violence genrée affecte les femmes et les personnes trans. Nous pouvons notamment parler de violence dans les relations intimes et amoureuses et de violence à caractère sexuel.

Quelques exemples de comportements violents
  • Ma·on partenaire me menace de dévoiler mon sexe assigné à la naissance ou ma transitude.
  • Ma·on partenaire me mégenre (utilisation des mauvais pronoms/accords de genre).
  • Ma·on partenaire me dit que je suis en sécurité avec ellui, car iel respecte mon identité de genre et pas mon entourage.
La violence dans son contexte structurel

Il ne s’agit pas d’une situation individuelle, mais bien d’un problème de société. La transphobie (notamment la transmisogynie et l’enbyphobie) met les personnes trans et non-binaires à risque de vivre ou de rester dans une situation de VRIA.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez consulter notre guide VRIA entre violences structurelles et violences invisibles.

Continuum de la violence à caractère sexuel et la transphobie
1.
Demander le sexe assigné à la naissance
2.
Utiliser des mots créant de la dysphorie physique (ex. sexe masculin)
3.
Poser des questions intrusives sur le corps des personne trans et non-binaires
4.
Dévoiler des informations sur le corps de la personne sans son consentement
5.
Utiliser la menace de outing pour forcer à avoir un rapport sexuel
6.
Augmenter la dysphorie physique en touchant des parties du corps qui sont dysphoriques pour la personne
7.
Contrôler l’expression de genre dans la relation intime
8.
Forcer la personne à adopter un rôle genré
9.
Faire du détournement cognitif (gazlighting) et faire à croire à la victime que la violence n’existe pas en contexte LGBTQ+
10.
Fétichisation des personnes trans (notamment des personnes transféminines)
11.
Transmicides ciblant les personnes trans et travailleureuses du sexe

Transmicide: Dans le cadre du rodage de la formation Transphobie dans les relations intimes (BLHT 2022-2023), une personne a suggéré le terme transmicide, afin de rendre visible les meurtres ciblant les personnes trans car elles sont des personnes trans.
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Dans notre définition, la violence genrée affecte les femmes et les personnes trans. Nous pouvons notamment parler de violence dans les relations intimes et amoureuses et de violence à caractère sexuel.

Quelques exemples de comportements violents
  • Ma·on partenaire me menace de dévoiler mon sexe assigné à la naissance ou ma transitude.
  • Ma·on partenaire me mégenre (utilisation des mauvais pronoms/accords de genre).
  • Ma·on partenaire me dit que je suis en sécurité avec ellui, car iel respecte mon identité de genre et pas mon entourage.
La violence dans son contexte structurel

Il ne s’agit pas d’une situation individuelle, mais bien d’un problème de société. La transphobie (notamment la transmisogynie et l’enbyphobie) met les personnes trans et non-binaires à risque de vivre ou de rester dans une situation de VRIA.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez consulter notre guide VRIA entre violences structurelles et violences invisibles.

Continuum de la violence à caractère sexuel et la transphobie
1.
Demander le sexe assigné à la naissance
2.
Utiliser des mots créant de la dysphorie physique (ex. sexe masculin)
3.
Poser des questions intrusives sur le corps des personne trans et non-binaires
4.
Dévoiler des informations sur le corps de la personne sans son consentement
5.
Utiliser la menace de outing pour forcer à avoir un rapport sexuel
6.
Augmenter la dysphorie physique en touchant des parties du corps qui sont dysphoriques pour la personne
7.
Contrôler l’expression de genre dans la relation intime
8.
Forcer la personne à adopter un rôle genré
9.
Faire du détournement cognitif (gazlighting) et faire à croire à la victime que la violence n’existe pas en contexte LGBTQ+
10.
Fétichisation des personnes trans (notamment des personnes transféminines)
11.
Transmicides ciblant les personnes trans et travailleureuses du sexe

Transmicide: Dans le cadre du rodage de la formation Transphobie dans les relations intimes (BLHT 2022-2023), une personne a suggéré le terme transmicide, afin de rendre visible les meurtres ciblant les personnes trans car elles sont des personnes trans.
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Quelques exemples de comportements violents
  • Ma·on partenaire me menace de dévoiler mon sexe assigné à la naissance ou ma transitude.
  • Ma·on partenaire me mégenre (utilisation des mauvais pronoms/accords de genre).
  • Ma·on partenaire me dit que je suis en sécurité avec ellui, car iel respecte mon identité de genre et pas mon entourage.
La violence dans son contexte structurel

Il ne s’agit pas d’une situation individuelle, mais bien d’un problème de société. La transphobie (notamment la transmisogynie et l’enbyphobie) met les personnes trans et non-binaires à risque de vivre ou de rester dans une situation de VRIA.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez consulter notre guide VRIA entre violences structurelles et violences invisibles.

Continuum de la violence à caractère sexuel et la transphobie
1.
Demander le sexe assigné à la naissance
2.
Utiliser des mots créant de la dysphorie physique (ex. sexe masculin)
3.
Poser des questions intrusives sur le corps des personne trans et non-binaires
4.
Dévoiler des informations sur le corps de la personne sans son consentement
5.
Utiliser la menace de outing pour forcer à avoir un rapport sexuel
6.
Augmenter la dysphorie physique en touchant des parties du corps qui sont dysphoriques pour la personne
7.
Contrôler l’expression de genre dans la relation intime
8.
Forcer la personne à adopter un rôle genré
9.
Faire du détournement cognitif (gazlighting) et faire à croire à la victime que la violence n’existe pas en contexte LGBTQ+
10.
Fétichisation des personnes trans (notamment des personnes transféminines)
11.
Transmicides ciblant les personnes trans et travailleureuses du sexe

Transmicide: Dans le cadre du rodage de la formation Transphobie dans les relations intimes (BLHT 2022-2023), une personne a suggéré le terme transmicide, afin de rendre visible les meurtres ciblant les personnes trans car elles sont des personnes trans.
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Quelques exemples de comportements violents
  • Ma·on partenaire me menace de dévoiler mon sexe assigné à la naissance ou ma transitude.
  • Ma·on partenaire me mégenre (utilisation des mauvais pronoms/accords de genre).
  • Ma·on partenaire me dit que je suis en sécurité avec ellui, car iel respecte mon identité de genre et pas mon entourage.
La violence dans son contexte structurel

Il ne s’agit pas d’une situation individuelle, mais bien d’un problème de société. La transphobie (notamment la transmisogynie et l’enbyphobie) met les personnes trans et non-binaires à risque de vivre ou de rester dans une situation de VRIA.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez consulter notre guide VRIA entre violences structurelles et violences invisibles.

Continuum de la violence à caractère sexuel et la transphobie
1.
Demander le sexe assigné à la naissance
2.
Utiliser des mots créant de la dysphorie physique (ex. sexe masculin)
3.
Poser des questions intrusives sur le corps des personne trans et non-binaires
4.
Dévoiler des informations sur le corps de la personne sans son consentement
5.
Utiliser la menace de outing pour forcer à avoir un rapport sexuel
6.
Augmenter la dysphorie physique en touchant des parties du corps qui sont dysphoriques pour la personne
7.
Contrôler l’expression de genre dans la relation intime
8.
Forcer la personne à adopter un rôle genré
9.
Faire du détournement cognitif (gazlighting) et faire à croire à la victime que la violence n’existe pas en contexte LGBTQ+
10.
Fétichisation des personnes trans (notamment des personnes transféminines)
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Transmicides ciblant les personnes trans et travailleureuses du sexe

Transmicide: Dans le cadre du rodage de la formation Transphobie dans les relations intimes (BLHT 2022-2023), une personne a suggéré le terme transmicide, afin de rendre visible les meurtres ciblant les personnes trans car elles sont des personnes trans.
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  • Ma·on partenaire me mégenre (utilisation des mauvais pronoms/accords de genre).
  • Ma·on partenaire me dit que je suis en sécurité avec ellui, car iel respecte mon identité de genre et pas mon entourage.
La violence dans son contexte structurel

Il ne s’agit pas d’une situation individuelle, mais bien d’un problème de société. La transphobie (notamment la transmisogynie et l’enbyphobie) met les personnes trans et non-binaires à risque de vivre ou de rester dans une situation de VRIA.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez consulter notre guide VRIA entre violences structurelles et violences invisibles.

Continuum de la violence à caractère sexuel et la transphobie
1.
Demander le sexe assigné à la naissance
2.
Utiliser des mots créant de la dysphorie physique (ex. sexe masculin)
3.
Poser des questions intrusives sur le corps des personne trans et non-binaires
4.
Dévoiler des informations sur le corps de la personne sans son consentement
5.
Utiliser la menace de outing pour forcer à avoir un rapport sexuel
6.
Augmenter la dysphorie physique en touchant des parties du corps qui sont dysphoriques pour la personne
7.
Contrôler l’expression de genre dans la relation intime
8.
Forcer la personne à adopter un rôle genré
9.
Faire du détournement cognitif (gazlighting) et faire à croire à la victime que la violence n’existe pas en contexte LGBTQ+
10.
Fétichisation des personnes trans (notamment des personnes transféminines)
11.
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Transmicide: Dans le cadre du rodage de la formation Transphobie dans les relations intimes (BLHT 2022-2023), une personne a suggéré le terme transmicide, afin de rendre visible les meurtres ciblant les personnes trans car elles sont des personnes trans.
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Pour plus d'infos

 Pour toutes rétroaction ou partage de connaissance, il est possible de contacter Sam (iol, accords non genré) à sam@divergenres.org ou de le faire de façon anonyme: mettre lien (lorsque créé)

 

PÉTITION

En collaboration avec TRAPS Montréal et le Mouvement Transféministe, nous lançons une pétition demandant aux organismes pour femmes de respecter les droits des femmes trans. Pour y contribuer, voici le lien du formulaire: lien + syntaxe à co-créer

Veuillez noter que nous n’offrons pas d’intervention aux victimes de violences genrées. Des ressources sont disponibles sous l’onglet Soutien aux victimes de violences genrées.